- FAUX… et peut-être un peu vrai parfois. On va vous dire pourquoi.
- Langue non-indoeuropéenne, l’euskara ne permet pas d’avoir de référence directe aux langues latines ou anglosaxonnes. Elle a sa propre logique qui une fois comprise devient rapidement cohérente dans une structure de verbes et de phrases toujours régulière….
- ….Et 70% du vocabulaire vient du latin ! Il est bon de se familiariser, de se faire l’oreille pour se rendre compte que certains mots peuvent devenir transparents (ex : Lore, Flor, Fleur)
- Il existe différents dialectes qui correspondent sensiblement aux 7 provinces historiques et nous avons depuis 60 ans le BATUA, une langue unifiée justement pour rendre l’apprentissage en commun plus accessible et plus facile.
- Apprendre l’euskara, c’est aussi la facilité d’accès vers des cours pour adultes dans toutes les provinces avec différentes formules adaptées. Aujourd’hui parler l’euskara comme locuteur indépendant est possible en un peu plus de 900 heures, soit 9 mois en formule intensive et formation continue. Une année de travail consacrée à l’euskara peut vous amener dans l’univers de la langue pratique au quotidien pour développer de nombreux projets professionnels et bénéfices personnels.
- Au-delà de la langue et des cours, ce qui est difficile justement, ce n’est pas de l’apprendre, c’est parfois d’avoir un projet qui vous permettra de pratiquer régulièrement l’euskara afin de progresser. Là aussi, chercher autour de vous, demander des conseils et entendre des témoignages pourra vous inspirer car nous, les bascophones, sommes plus nombreux qu’on le pense.